jeudi 7 novembre / 20:30
avec le soutien indispensable de l'ONDA ( Office National de Diffusion Artistique )
L’histoire d’Irina Lucidi est tristement célèbre. Cette Italienne, mariée à un Suisse, vient de se séparer de son conjoint quand celui-ci disparaît avec leurs deux enfants. Quelques jours plus tard, on le retrouve mort – un suicide – mais les jumelles, alors âgées de 6 ans, ne seront jamais retrouvées. Dès lors comment faire son deuil lorsqu’on oscille entre l’espoir secret d’une réapparition et les abysses de la douleur ?
Seule en scène, Gaia Saitta porte au plateau le texte de la journaliste italienne Concita de Gregorio dont les entretiens avec Irinia ont donné naissance au roman : Je crois que dehors c’est le printemps. Accompagnée à la mise en scène par Giorgio Barberio Corsetti, ils déploient avec force et justesse une pièce loin du caractère violent et sinistre de l’affaire pour se pencher sur l’après : la résistance, la reconstruction, le droit au bonheur, la vie…
« Un manifeste pour la vie comme pour le théâtre » — Télérama
« Un théâtre qui répare et une femme qui résiste » — La Terrasse
« Un vibrant hommage à la vie » — Les Inrocks
Metteur·ses en scène : Gaia Saitta, Giorgio Barberio Corsetti • Interprétation : Gaia Saitta • Texte : Concita de Gregorio • Adaptation théâtrale : Gaia Saitta • Collaboration artistique : Cécile Lassonde • Scénographie : Giuliana Rienzi • Costumes : Frédérick Denis • Création lumières : Marco Giusti • Création son et régie lumière : Tom Daniels • Vidéo : Igor Renzetti • Régie général, plateau et vidéo : Pierre Ottinger . Création studio: Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Coproduction : Théâtre National Wallonie-Bruxelles, Les Halles de Schaerbeek, If Human (Bruxelles), Le Manège - Scène Nationale de Maubeuge, Théâtre National de Nice - CDN Nice Côte d’Azur • Gaia Saitta est artiste associée au Théâtre National Wallonie-Bruxelles